Témoignage d'un homme :
Durant mon enfance, je me suis mis à mouiller mon lit la nuit. Et en réponse, je me suis retrouvé en couches jour et nuit dès que je n'étais pas à l'école. Et cela a duré jusqu'à la fin de mon adolescence. Je me suis en conséquence retrouvé à la merci de ma mère qui prenait à réel plaisir à me fabriquer des vêtements de bébé et notamment des robes de nouveau-né qui laissaient clairement apparaitre mes langes. Langes en éponges qui étaient très copieusement doublés.
Je sortais de mes langes uniquement pour l'école, le reste du temps, et même dehors j'étais vêtu comme un petit enfant et tout le monde pouvait clairement deviner mon état. Dès que quelqu’un interrogeait ma mère sur le pourquoi du comment, elle ne faisait aucun secret sur mon état de "mouilleur de lit" et le fait que tant que j'utiliserai mes langes comme un bébé, je ne serai pas prêt d'en sortir. Bien entendu, elle ne me laissait aucunement l'occasion de le faire. A la maison, j'étais habillé pour la nuit et couché au plus tard à 19:00. Ma chambre était bien entendue une véritable nurserie dans laquelle trônait un lit à barreaux où j'étais confié pour la nuit mais aussi lors des siestes obligatoires.
Lors des repas je portais un bavoir et ma mère me donnait à manger, cela même en dehors de la maison. C'est état de fait a durer jusqu'à mes dix-huit ans et que je quitte la maison.
Je sortais de mes langes uniquement pour l'école, le reste du temps, et même dehors j'étais vêtu comme un petit enfant et tout le monde pouvait clairement deviner mon état. Dès que quelqu’un interrogeait ma mère sur le pourquoi du comment, elle ne faisait aucun secret sur mon état de "mouilleur de lit" et le fait que tant que j'utiliserai mes langes comme un bébé, je ne serai pas prêt d'en sortir. Bien entendu, elle ne me laissait aucunement l'occasion de le faire. A la maison, j'étais habillé pour la nuit et couché au plus tard à 19:00. Ma chambre était bien entendue une véritable nurserie dans laquelle trônait un lit à barreaux où j'étais confié pour la nuit mais aussi lors des siestes obligatoires.
Lors des repas je portais un bavoir et ma mère me donnait à manger, cela même en dehors de la maison. C'est état de fait a durer jusqu'à mes dix-huit ans et que je quitte la maison.
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