Comme la plupart des hommes aujourd'hui, mon mari pensait qu'il était le maître à la maison. Certes il gagnait la majorité du revenu du ménages, mais il pensait que ses responsabilités s'arrêtaient là. Il pensait que le monde tournait autour de lui et que j'étais là uniquement pour m'occuper de lui.
Un jour, une amie est venue me visiter avec son bébé, et je fis la remarque que mon mari était exactement comme un bébé dont il fallait s'occuper sauf que je ne changeais pas ses couches. Elle me suggéra alors en rigolant de le remettre dans ses couches et que cela lui montrerait peut-être à quel point il était immature. Surtout nous nous disions qu'une telle humiliation était tout ce qu'il méritait, mais cela était inenvisageable car il ne se soumettrait jamais à un tel traitement.
Mais l'image de mon mari rampant en couches ne me quittait plus, et une opportunité inattendue va se présenter à moi. J'ai reçu un appel d'une de ses collaboratrices, et j'ai appris qu'il n'était pas très scrupuleux à se servir de temps à autre dans la caisse de l'entreprise qui n'était autre que celle de mon père. Or, si mon père l'avait appris, il aurait coupé tous les ponts avec moi et mon mari. Pire, mon mari aurait été envoyé en prison.
J'ai donc mis mon mari face à ses erreurs, et je lui ai laissé le choix entre tout perdre et aller en prison. En sachant que l'aurait moi-même dénoncé et abandonné. Ou bien de m'obéir au doigt et à l’œil en me signant une confession de sa main et en promettant de restituer tous les biens. Il pleurait comme un bébé et n'eut d'autre choix que d'accepter. La lettre fût bien entendue placée en lieu sûre.
La semaine qui suivit j'ai rendu visite à des couturière qui rigolèrent énormément en apprenant toute la layette que je leur commandais pour mon mari. Je fis aussi redécorer la chambre d'ami en une véritable nurserie pour le bébé que je m’apprêtais à accueillir. Lorsque tout fût prêt, je demandais à mon père d'accorder à mon mari un congés extensible qu'il m'accorda en me laissant entendre qu'il était aussi lassé de lui au travail.
Lorsqu'il rentra à la maison, il était décomposé et me demanda si j'avais dis quelque chose à mon père. Je lui ai répondu que non mais que je le ferai si il ne m'obéissait pas comme convenu. Je l'ai alors envoyé dans la salle de bain où un bain l'attendais, je lui ai demandé de rentrer dans l'eau et de coopérer pour m'aider à enlever tous les poils de son corps. Il coopéra malgré un léger grognement. Lorsque je l'ai séché, je l'ai ensuite emmené dans sa nouvelle chambre. Il se décomposa totalement mais au lieu de se rebeller, il me supplia de ne pas l'envoyer dans la nurserie. Ces protestations furent interrompue par une claque sur sa cuisse et une tétine qui vint se loger dans sa bouche, le forçant à rester silencieux pendant que je préparais ses couches. Des larmes coulèrent sur ses joues alors que je le talquais et que je refermais avec soin les couches autour de sa taille. Suivirent alors le body, les chaussons et un adorable bonnet. Lorsque j'eus enfin fini, quel merveilleux spectacle se fût que de le voir aussi adorable et visiblement très bien langé.
Depuis, j'ai fais de mon mari ce que je voulais exactement, un bébé de 18 mois. Il pleurt, babille, rampe et utilise ses couches tout comme un véritable bébé, et j'ai un véritable plaisir à le montrer à mes amies. Même si cela le fait souvent pleurer. Ce qui le laisse souvent très fatigué lorsque je le couche à 19h comme n'importe quel bébé.
Je peux vous dire que contrairement à lui qui connait beaucoup d'indignités, à commencer par souiller ses couches, je connais beaucoup de plaisirs. C'est pourquoi j'écris aujourd'hui et que je recommande fortement de remettre tout homme à sa place, dans ses couches, et dans ces adorables habits de bébé.
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