Alors que j'avais quinze ans, j'avais un petit-ami avec lequel je connaissais mes premiers émois, mais l'horreur fût quand ma mère nous surpris en pleine action. Elle chassa mon petit ami en hurlant et en me disant que j'étais sa plus grande honte. Elle me passa un sacré savon. Lorsque la tension fût redescendu, elle m'annonça qu'elle allait m'envoyer chez ma grand-mère qui allait reprendre en charge mon éducation le temps d'un été.
Je fus envoyée en train jusque chez ma grand-mère, en pleine campagne. Tout se passa bien jusqu'à ce que ma grand-mère me montre ma chambre. Celle-ci était très sobre mais enfantine avec poupées et peluches. Il n'y avait rien à part le lit et une grande commode blanche. Elle me demanda alors ma valise et disparut avec dans le couloir sans un mot.
Elle revint dans la chambre alors qu'elle portait au bras un robe courte et blanche aux manches bouffantes. Elle la posa sur la commode sans un mot et ouvrit le premier tiroir dont elle sortit du talc. Je frissonnais mais je n'osais rien dire car ma grand-mère était très autoritaire. Elle ouvrit ensuite le second tiroir et en sortit une culotte en plastique qu'elle secoua devant moi et dont je pus apercevoir les volants piqués à l'arrière. Je me mis alors à pleurer devant l'inévitable, mais ma grand-mère continua implacablement alors que je lui promettais d'être une gentille fille et de ne pas recommencer. Elle ouvrit alors le troisième tiroir qui débordait de langes en coton épais. Elle en attrapa trois ainsi que quatre épingles à nourrice.
Elle se dirigea vers le lit et étala deux langes avant de plier le troisième qu'elle plia en rectangle avant de le poser au centre et de replier les coins venant serré l'ensemble. Alors que je continuais de la supplier et que je sanglotais, elle se dirigea vers moi et me déshabilla entièrement. J'étais humiliée mais je n'osais rien dire. Elle m'entraina par la main laissant mes vêtements sur le sol et me fit m'allonger sur les langes disposés ainsi sur le lit. La terrible épaisseur des langes me heurta alors que ma grand-mère commençait à saupoudrer du talc sur mon bas ventre. Alors qu'elle ne m'avait adressé aucun mot, elle commença à me parler comme à un bébé en disant que j'avais étais vilaine mais que je serais un gentil bébé tout l'été. Elle étala le talc puis rabattit mes jambes contre moi pour talquer mes fesses. Une fois fini, elle rabattit fermement les langes contre mon ventre.
L'épaisseur des langes me força à écarter les jambes alors que je sentais l'étreinte des langes enserrés mes hanches au fur et à mesure que ma grand-mère les épinglées. Tout en épinglant mes langes, elle m'expliqua que j'allais passé tout l'été langée et traitée comme un bébé. Cela même dans le jardin ou en présence d'invités. Et surtout qu'il n'y aurait aucune exception, que je devrais les mouiller et les souiller. Je me suis effondrée en larmes alors qu'elle m'enfilait la culotte plastique avant de me retourner sur le ventre pour entrer toute la couche à l'intérieur de la culotte. Elle me fit ensuite me lever et m'enfila la robe avant de la boutonner tout en me disant que les robes que je porterais soient courtes pour qu'on voit mes couches.
Une fois son travail fini, elle m'entraina par la main dans sa chambre alors que je marchais difficilement à cause de l'épaisseur de mes langes. Elle m'arrêta devant le miroir où elle me fit constater mon état. Elle me dit alors que si après cet été cela recommençait, je reviendrais ici tous les été pour être un gentil bébé. Comme je continuais à pleurer, elle sortit une tétine en caoutchouc de sa poche qu'elle me mit en bouche en m'interdisant de l'enlever. En quittant la chambre, je remarquais alors la machine à coudre et le travail en attente qui était de la layette m'étant destinée.
J'ai passé les deux mois de l'été de mes 15 ans à mouiller et souiller mes langes. J'étais lavée et changée par ma grand-mère, avec ou sans invités. Les langes, les culottes et la layette étaient étendus sur le fil à linge. Alors que pour moi s'enchainait le défilé des culottes, des robes, des bavoirs et des bonnets. Ma routine était quant à elle faite d'un long couché, des repas et des siestes. Cela étant parfois accompagné d'un petit suppositoire pour m'aider à souiller mes langes. Sans parler des innombrables biberons qui faisaient que j'étais aussi fréquemment changée qu'un nouveau-né. Les quelques bêtises, parfois sexuelles, ou rébellions que j'ai pu faire ont été réprimées par de cinglantes fessées qui ont eu raison de moi.
Et lorsque je suis rentrée à la maison, l'absence de langes était une véritable liberté. Je me fis la promesse de ne plus revoir ma grand-mère, et je ne me fis plus jamais prendre par mes parents avant de quitter la maison à mes 21 ans. Et j'étais réellement devenue obéissante avec mes parents qui rappelaient dès qu'il le fallait mon petit séjour chez ma grand-mère que je n'oublierai jamais.
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