dimanche 23 février 2014

Un comportement inadapté:

Témoignage d'un homme (1980):

Je vais vous raconter comment enfant, j'ai été traité comme un bébé pour mon comportement. C'était à l'été 1965 et j'avais onze ans. J'avais été envoyé par ma mère chez une de mes tantes qui avait la bonne cinquantaine. Elle avait élevé mes cousins bien plus âgés que moi mais que je pensais un peu trop discrets.

Ma tante m’avertit qu'elle ne tolèrerait pas le moindre écart et que mes parents l'avaient autorisé à me discipliner sévèrement. Et dès la première journée, je me faisais remarquer. Ma tante vint à ma rencontre et me donna une fessée cul nu avant de m'avertir que "la prochaine fois, ce sera pire". J'avais les fesses en feu.

Le lendemain matin, elle ne supportait pas plus mon comportement. Elle me ramena rapidement à l'étage et arrivé en haut des marches elle me dit de me déshabiller entièrement alors qu'elle disparaissait dans sa chambre. Lorsqu'elle revint me chercher, je vis immédiatement sur le lit des vêtements pour bébé qui m'étaient clairement destinés, et surtout des langes pliés et ouverts qui n'attendaient plus que moi. Un haut de bébé et un culotte en plastique bleue juste à côté. J'étais déjà terrifié et humilié avant même qu'elle n'ouvre la bouche.

Elle dit alors: " Tu vas être habillé et traité en bébé jusqu'à ce que tu comprennes. Et les bébés font la sieste aussi le matin. Tu vas porter ces couches jusqu'à ce qu'elles soient mouillées et sales. Je vais te changer puis te langer jusqu'à ce que cela arrive une seconde fois. Seulement après, tu retrouveras tes habits normaux. Mais si cela arrive de nouveau, ce sera de plus en plus long". J'ai juste répondu "oui madame".

Je me suis retrouvé langé et habillé comme un petit bébé, pour une sieste dès le matin. Et six heures plus tard, j'avais souillé et mouillé ma couche. Elle m'a changé, langé de nouveau, et je n'ai été libéré que le lendemain matin après avoir de nouveau utilisé mes langes durant la nuit. Ce fût très humiliant.

Le jour suivant, je m'en suis pris à son chat. Ce fût la goutte de trop. "Je vois que tu n'as pas compris" me dit elle en me trainant à l'étage. Je me suis de nouveau retrouvé nu, fessé et langé. Mais cette fois-ci j'allais passé le reste de mon séjour en couches et traité comme un véritable bébé. Siestes, repas, changes et bien sûr utilisation des couches obligatoires. Je ne fus remis dans mes habits normaux que lorsque ma mère vint me chercher. Je ne lui ai jamais rien dit, et je ne sais pas si elle a jamais su, mais depuis lors je n'ai jamais été aussi sage et poli.  

Pour un accident...:

Témoignage d'un homme:

Lorsque j'étais enfant, pour des raisons pratiques, j'ai vécu avec ma grand-mère à plein temps. Et un jour que je jouais avec une petite voisine et que je ne voulais pas rentrer, j'ai eu un accident et mouillé mon pantalon. Lorsque je suis rentré, ma grand-mère a simplement déclaré que "les petits garçons qui font les bébés doivent être habillés comme des bébés", j'en suis devenu tout rouge.

Cette nuit là, je me préparais pour aller au lit en espérant qu'elle avait oublié cet accident quand elle arriva dans ma chambre et déclara " Grand-mère va mettre ses couches à bébé et il n'aura pas besoin d'aller aux toilettes". Sans aucun avertissement et comme si cela était naturel, elle a baissé mon bas de pyjama et m'a allongé sur le dos sur le lit. Elle disparu en revenant rapidement avec un sac dont elle sortit des langes en éponge, du talc, des épingles à nourrice avec des capuchons colorés, et une culotte en plastique.

Elle me dit alors "tout le monde sera mieux dans quelques minutes" tout en soulevant mes jambes, en glissant les langes sous mes fesses et en me talquant copieusement. Lorsqu'elle les referma entre mes jambes et qu'elle les fixa avec des épingles je sentis l'épaisseur écarter mes jambes. Ma grand-mère sourit alors avidement en me disant "ces langes ne sont ils pas merveilleux?".  Durant tout le reste du temps elle me parla comme si j'avais moins d'un an.

"Mettons cette jolie culotte" ponctua ensuite ma grand-mère. Elle passa alors la culotte entre mes jambes et la remonta jusqu'à ce qu'elle couvre parfaitement mes langes. La culotte renfonçait particulièrement leur présence et me faisait réllement sentir comme un bébé. Elle me retourna et tapota mon derrière en me disant "je suis sûre que bébé va passer une bonne nuit".

Mais cela n'était pas fini et elle sortit du sac une robe de bébé qu'elle passa avant de mettre des chaussons en laine aux pieds. Elle me mit ensuite au lit avant de me souhaiter une bonne nuit. A partir de ce moment, et excepté pour l'école, j'étais traité comme un bébé par ma grand-mère qui y prit un réel plaisir dès le lendemain en constatant que je ne pus me retenir.

Pour avoir mouillé son lit...:

Témoignage d'un homme :

Durant mon enfance, je me suis mis à mouiller mon lit la nuit. Et en réponse, je me suis retrouvé en couches jour et nuit dès que je n'étais pas à l'école. Et cela a duré jusqu'à la fin de mon adolescence. Je me suis en conséquence retrouvé à la merci de ma mère qui prenait à réel plaisir à me fabriquer des vêtements de bébé et notamment des robes de nouveau-né qui laissaient clairement apparaitre mes langes. Langes en éponges qui étaient très copieusement doublés.

Je sortais de mes langes uniquement pour l'école, le reste du temps, et même dehors j'étais vêtu comme un petit enfant et tout le monde pouvait clairement deviner mon état. Dès que quelqu’un interrogeait ma mère sur le pourquoi du comment, elle ne faisait aucun secret sur mon état de "mouilleur de lit" et le fait que tant que j'utiliserai mes langes comme un bébé, je ne serai pas prêt d'en sortir. Bien entendu, elle ne me laissait aucunement l'occasion de le faire. A la maison, j'étais habillé pour la nuit et couché au plus tard à 19:00. Ma chambre était bien entendue une véritable nurserie dans laquelle trônait un lit à barreaux où j'étais confié pour la nuit mais aussi lors des siestes obligatoires.

Lors des repas je portais un bavoir et ma mère me donnait à manger, cela même en dehors de la maison. C'est état de fait a durer jusqu'à mes dix-huit ans et que je quitte la maison.

mercredi 19 février 2014

Une hiérarchie bien définie:

Témoignage d'une femme (2001) :

Mon mari est pleinement soumis à une discipline de bébé dont les langes et les culottes en plastique sont l'élément principal. Le but principal est que cela me fasse plaisir. Ainsi, quand il n'est pas dans ma chambre pour me satisfaire, il est en couches et en habits de bébé. Il dort alors dans la petite chambre derrière où j'ai converti un lit en lit pour bébé avec des barreaux. Il porte alors de mitennes qui sont elles-mêmes attachées au barreau du lit pour prévenir tout problème puisqu'il n'est bien sûr pas autorisé à se toucher. Il va sans dire qu'il est bien sûr obligé d'utiliser ses couches comme il se doit, et cela me fait toujours plaisir lorsque je viens constater la nuit que ses couches sont mouillées ou pleines et que je le change.

Changer des couches sur un adulte est beaucoup plus facile comme un bébé. Il peut ainsi me dire quand il a besoin d'être changé, et j'adore quand il me demande si timidement et gentillement pour que je daigne lui mettre des couches propres. Ce que j'adore par dessus tout, je l'avoue, c'est de le changer devant des visiteurs comme n'importe quels bébés. Il a alors souvent le droit à des commentaires et des remarques qui l'humilient fortement. Je suis très sévère, ainsi il a l'interdiction de bouger ou de jouer lorsque je le change, sans quoi il risque une bonne fessée. Il attendant donc allongé, docilement, tandis que je le lave, le sèche, lui met des lotions et du talc avant de le langer de manière épaisse, le tout étant ensuite recouvert d'une culotte plastique une nouvelle fois.

Je mets un point d'honneur à ce qu'il soit langé de la manière la plus importante qui soit, cela est très joli et rajoute à son état de bébé. La nuit cela est doublé, et le pauvre ne peut clairement pas fermer son entrejambe. Tous ses vêtements de bébé, du body à la grenouillère, sont tous pourvus d'ouverture à l'entrejambe pour que je puisse le changer rapidement.

Tout ceci tient à la seule raison que j'aime avoir le contrôle sur lui et qu'il soit dépendant de moi. Il a su dès le départ que je n'entendais avoir aucun autre type de relation, et que je choisirais comment il serait habille, y compris devant des amis, sans quoi cela entrainerait des punitions. Il savait aussi que je dirigerai sa vie. Il a accepté ces termes, mais si cela a demandé parfois quelques fessées, et il a appris malgré lui à aimer ses couches.

Cela fait maintenant quatre ans que mon mari est un bébé la plupart du temps. Et je dois dire qu'avoir un homme remis en couches et traité en bébé est la seule manière d'en avoir pleinement le contrôle. Et je pense que c'est la place qui devrait être la leur dans la mesure où en tant que femmes nous sommes celles qui prenont soin d'eux et qui leurs donnons de l'affection. Nous sommes donc supérieurs à eux, et cela est l'expression de cet ordre naturel. Ainsi, je recommande à toute femme ayant des difficulté avec un homme, qu'il soit son mari ou son fils, de le remettre immédiatement dans les couches et de lui rappeler le bébé qu'il est entre nos mains.

Un bébé volontaire:

Témoignage d'une femme (2001) : 

On évoque toujours les cas difficile, mais pour ma part cela s'est passé très sereinement. Un jour lors des semaines proches d'halloween nous avons reçu un de nos magazines qui mettaient en avant les déguisements les plus intriguants. L'une des photos représentée un homme portant un immense lange, et un faux biberon de déguisement dans la main. J'ai rigolé et j'ai montré la photo à mon mari en lui disant "n'est ce pas ridicule?". Puis je l'ai regardé de haut en bas en disant "Je me demande comment tu serais habillé en bébé?" alors que je le taquinais. Il a rougi et voyant sa réaction j'ai dis "non ça serait ridicule" et j'ai terminé la conversation ainsi.

Je me demandais alors, vu sa réaction, si il aurait le courage de revenir sur la conversation. Deux nuit plus tard, calmement, il a murmuré à mon oreille "Qu'as tu voulu dire par être habillé comme un bébé?". Je lui ai alors répondu qu'il pourrait être mignon comme cela, mais que ce n'était qu'une idée et de ne pas s'y attacher. Il revint à la charge en disant que si cela était quelque chose que je voulais, et c'était bien quelque chose que je voulais, il ne serait pas contre. Je n'ai pas pu résister alors au fait de rigoler parce que je savais que je serai seule décisionnaire en lui disant "je paris que tu as toujours voulu cela, non?". Il s'est alors mis à tout me raconter en détail sur son désir d'être un bébé et a pleuré sur mon épaule.

Il a maintenant une magnifique garde-robe de bébé avec toute la layette nécessaire. Il m'adore et apprécie la moindre minute de son état de bébé. Je lui ai fait la plupart de ses habits de bébé, à mon plus grand plaisir, puisque je suis bonne couturière. Le reste comme les culottes plastiques ou les culottes en caoutchouc je les ai trouvé auprès de magasins spécialisés. Je sais aussi faire du tricot, j'ai donc fait des chaussons et des mitennes en laine pour mon bébé.

Je dois néanmoins avouer que toute cette attention n'empêche pas Maman d'être très stricte. Ainsi, il dispose d'une chaise haute et de tout le mobilier me permettant de le savoir en sécurité. Lors des repas, je le mets dans sa chaise haute, bien sanglé, et bien sûr pleinement habillé en bébé. Je lui mets alors un joli bavoir autour du cou. Je lui donne moi-même à manger avant de lui donner un bon biberon de lait chaud. C'est un moment que j'apprécie car il me caline et me touche tendrement avant de parfois prendre le sein. En retour, je lui fait de tendres calins et de beaux bisous comme les bébés les aiment. Il est très content comme cela et n'échangerait pas sa place pour rien au monde.

Il est aujourd'hui le mari obéissant, aimant et docile que nous recherchons toutes sans que je n'ai eu besoin d'employer la force. Nous avons un marriage heureux et si je peux suggérer une chose, c'est que si quelque chose manque dans votre mariage. Essayez de proposer à votre mari de porter des couches et de devenir votre bébé. Voyez comment il réagit, cela peut faire toute la différence. A l'extérieur, il est tout à fait capable et a une bonne place. Mais à la maison, il n'est que mon petit bébé.Et je sais qu'il ne voudrait pas qu'il en soit autrement.

un véritable plaidoyé:

Témoignage de (1967) :

L'utilisation des couches et le fait de traité son mari comme un bébé est absolument merveilleux. De nombreuses personnes vont en douter, mais il n'y a rien de plus efficace qu'une grosse couche bien visible, mouillée et le sentiment très enfantin d'être incapable de s'empêcher de mouiller ses couches qui finit par avoir besoin d'être changé. Je suis sûre que si de nombreuses femmes connaissaient l'effet des couches, alors les emploieraient sans complexe. Seules ou avec d'autres moyens de discipline. D'autant plus qu'un bébé est beaucoup plus difficile à discipliner qu'un grand garçon ou un homme.

Tout a commencé lorsqu'enfant j'ai été langé par mon institutrice, un samedi de punition. Ce fût une terrible surprise, je me sentis alors très petit. Et lorsqu'elle me donna une fessée après ça, je n’eus même pas reçu la première tape que je pleurais déjà comme un véritable bébé. Certainement à cause du fait d'avoir été remis dans mes couches.

Quelques années plus tard, alors que j'étais chez ma tante pour des raisons diverses, elle tenta de me discipliner et je lui dis que je n'étais pas un bébé. Que n'avais-je pas dis là?! Elle me répondit "Pour ce qui est d'être un bébé, je pense que tu es très puérile. Et pour te montrer qui commande désormais, tu passeras tes nuits et tes week-ends comme un bébé".

Le lendemain, malgré mes protestations et devant mes cousines qui se délectaient, je fus déshabillé entièrement, allongé et langer dans d'épais langes en coton. Je passais ma première nuit uniquement vêtu de mes couches aux quelles s'ajoutèrent une des chemises de nuit de la maison pour que je n'ai pas froid.

"N'es tu pas un bébé maintenant?" me dit ma tante triomphalement.

Le lendemain matin, au petit-déjeuner, mes cousines suggérèrent que je devais porter un bavoir et être nourri à la cuillère. Je me mis en colère, autre erreur, et je me retrouvé une minute plus tard sur les genoux de ma tante, un bavoir fait-maison autour du cou, alors qu'une de mes cousines me donnait à manger. Je pleurais de cette situation et de la fessée que j'avais reçu avant. Mais le pire fût d'avoir des céréales tombant sur le bavoir et mes joues sales.

Rapidement, les jours suivants, je devais parler comme un bébé quand j'étais en couches. Et je continuerai d'être puni tant que je ne le ferai pas convenablement. Je ne fus plus qu'autorisé à jouer avec des jouets de bébé et lire de livres d'images. Seule l'école et mes corvées étaient des moments de répits. Je retrouvais mes couches immédiatement après.

A peine une semaine plus tard, j'avais un parc, des vêtements de bébé, des culottes en plastique, des tétines, et des biberons. Tétines et biberons que j'ai du acheter moi-même sur le chemin du retour de l'école. Ce fût une terrible épreuve. Je buvais désormais uniquement des biberons et ceux du soir étaient toujours donnés par ma tante ou une de mes cousines. Si je faisais trop de bruit, ou que je pleurais (y compris après une fessée), je me retrouvais avec ma tétine en bouche et l'interdiction de l'enlever de là.

Ce traitement, et les nombreux biberons aidant surtout le week-end, je commençais à mouiller régulièrement et de manière incontrôlable mes couches comme un véritable bébé. Couches que j'avais l'interdiction de toucher ou d'enlever. Les culottes qui les serraient contre moi me les rappelaient alors très bien. Mais cela était surtout la nuit et lors des siestes. Mais à peine une semaine après le début de ce traitement, alors que je pouvais utiliser les toilettes une fois le matin et une fois en fin d'après-midi, je me mis à mouiller mes langes la journée. J'en ai réellement pleuré sous les rires de mes cousines. En conséquence de cela j'étais langé de plus en plus épais. Ce qui rajoutais encore plus à mon état infantile à cause de la démarche que cela m'imposait.

Croyez-moi, un traitement entier fait de couches, de vêtements pour bébé, de biberons, de repas à la cuillère, de jeux pour bébé, de siestes, de couchers très tôt et de l'utilisation obligatoire d'un langage infantile aura tôt de faire de n'importe quel enfant ou adulte un vrai bébé impuissant et ayant besoin d'aide. Surtout du fait que l’utilisation des couches deviendra systématique. Il deviendra dépendant affectivement des personnes qui s'occuperont de lui, il sera automatiquement sous chasteté et pleurera à la simple idée d'une punition.  Cela créant une obéissance quasi-absolue.

Cela est le commencement d'une soumission absolue pour n'importe quel homme dès qu'il est remis dans ses couches, complétement débarrassé des poils de son corps et dépendant d'une femme.

Humilité et Gentillesse:

Témoignage d'une femme (1991) :

Mes deux garçon partageaient une seule chambre, ils portaient tous les deux obligatoirement des couches la nuit. Mais seulement l'un d'entre eux avait le droit de dormir dans le lit. C'était le plus gentil qui l'emportait. L'autre garçon devait alors aller dormir dans le lit à barreaux dans la nurserie juste à côté de ma chambre et être traité comme un bébé toute la soirée. Ou tout le week-end si il avait le malheur (et le bonheur pour moi) d'occuper la nurserie le vendredi soir. Ils détestaient ça mais au moins ça les rendait gentils, modestes et surtout en dehors de tous problèmes. 

Depuis que mes fils ont quitté la maison, j'ai gardé la nurserie qui est aujourd'hui occupée par mon mari quand il a besoin d'une petite leçon. Oui, c'est vrai! Il se plaint et pleure mais au final quelques nuits dans le lit à barreaux et surtout entre mes mains le rendent plus gentil et humble.

mardi 18 février 2014

Gynarchie & Infantilisation:

Témoignage d'un homme:

J'étais l'un des garçon d'une famille très stricte et croyante. Mes parents avaient des activités religieuses très prononcées. Ce qui avait pour conséquence de donner lieu à une éducation très rigide dans laquelle ma mère était la première et principale autorité disciplinaire.

Et je me rappelle depuis l'âge de mes cinq ans que ma mère utilisait les langes très épais et les culottes en plastique comme punition pour mes frères et moi. Et je peux vous assurer que ces punitions avaient aussi lieu à l'extérieur nous laissant dans un véritable honte car il était évident que nous étions langés sous nos vêtements.

Mais ce qu'il y avait de plus original, c'était que seul les garçon étaient soumis à cette discipline. Mes sœurs avaient droit à des fessées en guise de punition. Et plus intriguant encore, c'était souvent la plus grande de mes sœurs qui était à l'origine de nos retours en couches que ma mère qui était bien souvent occupée. Ma sœur se délectant bien souvent de nous envoyer pour trois mois dans les couches mises par ses soins. Elle prenait d'ailleurs un grand plaisir à utiliser les lotions pour bébé et le talc pour rendre notre peau très douche comme celle d'un bébé. Plus tard, elle se réjouit de raser nos poils pubiens.

De plus en plus fréquemment nos sœurs prenaient l'habitude de nous traiter et de nous habiller comme des bébés lorsque nous étions punis. Le tout étant clairement à la vue des voisins qui pouvaient voir les langes et la layette sécher dehors. Et lorsque nous avions le plus souvent des visiteuses à la maison, les discussions revenaient rapidement autour des couches et du change. Et il n'était pas rare qu'une des femmes en manque de maternité se porte volontaire pour nous changer.

J'ai été soumis à cette discipline jusqu'à mon départ de la maison bien après mes 19 ans et mes frères ont continué à être punis en couches jusqu'à leur propre départ. Mais j'ai remarque que plus l'un d'entre nous partait, plus ma mère devenait présente et de plus en plus maternelle. Jusqu'à remplir entièrement les tiroirs et les placards de langes, de culottes en plastique et de layette en tout genre. Ce qui m'a en fait rendu jaloux de ne pas avoir reçu la même attention. 

Je peux en tous cas aujourd'hui vous dire que ma sœur lange et traite son mari comme un bébé, tandis que moi je suis toujours à la recherche de celle qui fera la même chose de moi.

Une idée formidable:

Témoignage d'une femme (2001):

Cela fait déjà un certain temps que j'ai pris l'habitude d'habiller mon mari de manière infantile pour lui rappeler qui est "en charge". J'aime aussi le voir dans ce genre de vêtements qui le rendent adorable. Mais je n'avais jamais franchi l'étape de faire de lui un bébé.

Un jour, une amie à moi qui avait déjà vu mon mari dans ses petites affaires a apporté une tétine pour lui. L'idée m'amusait énormément mais il n'en était pas de même pour mon mari. Malgré ses protestations, la tétine a été poussé entre ses lèvres et il a été obligé de la têter. On lui demanda d'être un gentil petit garçon et de l'utiliser régulièrement. A partir de ce moment, dès que je l'habillais en petit garçon, il devait toujours avoir sa tétine et cela parfois à la grande joie de mes invitées.

Cette même amie a été beaucoup plus généreuse quelques semaines suivantes puisqu'elle est cette fois-ci venue avec des langes en éponge qu'elle avait fait elle-même. Ils étaient vraiment très grands et très épais. Et cette fois-ci, mon mari a clairement refusé de les porter. Mais je ne tolère pas de désobéissance de sa part . Il se retrouva rapidement allongé, tout pleurant, en train de se faire langer de manière très importante. Une fois les langes en place, je l'ai obligé à remercier sa généreuse donatrice.

Depuis ce moment, j'ai décidé de garder mon mari en permanence en couches. De plus, j'ai maintenant pris l'habitude de l'habiller comme un véritable bébé ce qui est beaucoup plus pratique. D'autant plus que mes amies me demandaient régulièrement à ce qu'il soit vêtu ainsi pour leur venue. Je dois aussi avouer que les couches m'ont aussi permis de contrôler notre relation sur le plan de la sexualité, ce qui m'a donné énormément de calme.

Le tricheur:

Témoignage d'une femme (2000) :

Comme la plupart des hommes aujourd'hui, mon mari pensait qu'il était le maître à la maison. Certes il gagnait la majorité du revenu du ménages, mais il pensait que ses responsabilités s'arrêtaient là. Il pensait que le monde tournait autour de lui et que j'étais là uniquement pour m'occuper de lui.

Un jour, une amie est venue me visiter avec son bébé, et je fis la remarque que mon mari était exactement comme un bébé dont il fallait s'occuper sauf que je ne changeais pas ses couches. Elle me suggéra alors en rigolant de le remettre dans ses couches et que cela lui montrerait peut-être à quel point il était immature. Surtout nous nous disions qu'une telle humiliation était tout ce qu'il méritait, mais cela était inenvisageable car il ne se soumettrait jamais à un tel traitement.

Mais l'image de mon mari rampant en couches ne me quittait plus, et une opportunité inattendue va se présenter à moi. J'ai reçu un appel d'une de ses collaboratrices, et j'ai appris qu'il n'était pas très scrupuleux à se servir de temps à autre dans la caisse de l'entreprise qui n'était autre que celle de mon père. Or, si mon père l'avait appris, il aurait coupé tous les ponts avec moi et mon mari. Pire, mon mari aurait été envoyé en prison.

J'ai donc mis mon mari face à ses erreurs, et je lui ai laissé le choix entre tout perdre et aller en prison. En sachant que l'aurait moi-même dénoncé et abandonné. Ou bien de m'obéir au doigt et à l’œil en me signant une confession de sa main et en promettant de restituer tous les biens. Il pleurait comme un bébé et n'eut d'autre choix que d'accepter. La lettre fût bien entendue placée en lieu sûre. 

La semaine qui suivit j'ai rendu visite à des couturière qui rigolèrent énormément en apprenant toute la layette que je leur commandais pour mon mari. Je fis aussi redécorer la chambre d'ami en une véritable nurserie pour le bébé que je m’apprêtais à accueillir. Lorsque tout fût prêt, je demandais à mon père d'accorder à mon mari un congés extensible qu'il m'accorda en me laissant entendre qu'il était aussi lassé de lui au travail.

Lorsqu'il rentra à la maison, il était décomposé et me demanda si j'avais dis quelque chose à mon père. Je lui ai répondu que non mais que je le ferai si il ne m'obéissait pas comme convenu. Je l'ai alors envoyé dans la salle de bain où un bain l'attendais, je lui ai demandé de rentrer dans l'eau et de coopérer pour m'aider à enlever tous les poils de son corps. Il coopéra malgré un léger grognement. Lorsque je l'ai séché, je l'ai ensuite emmené dans sa nouvelle chambre. Il se décomposa totalement mais au lieu de se rebeller, il me supplia de ne pas l'envoyer dans la nurserie. Ces protestations furent interrompue par une claque sur sa cuisse et une tétine qui vint se loger dans sa bouche, le forçant à rester silencieux pendant que je préparais ses couches. Des larmes coulèrent sur ses joues alors que je le talquais et que je refermais avec soin les couches autour de sa taille. Suivirent alors le body, les chaussons et un adorable bonnet. Lorsque j'eus enfin fini, quel merveilleux spectacle se fût que de le voir aussi adorable et visiblement très bien langé.

Depuis, j'ai fais de mon mari ce que je voulais exactement, un bébé de 18 mois. Il pleurt, babille, rampe et utilise ses couches tout comme un véritable bébé, et j'ai un véritable plaisir à le montrer à mes amies. Même si cela le fait souvent pleurer. Ce qui le laisse souvent très fatigué lorsque je le couche à 19h comme n'importe quel bébé.

Je peux vous dire que contrairement à lui qui connait beaucoup d'indignités, à commencer par souiller ses couches, je connais beaucoup de plaisirs. C'est pourquoi j'écris aujourd'hui et que je recommande fortement de remettre tout homme à sa place, dans ses couches, et dans ces adorables habits de bébé.




dimanche 16 février 2014

Coup de semonce:

Témoignage d'une femme (années 1960-1961) :

Mon fils paul était très difficile à la maison et je n'arrivais pas à me faire obéir de lui. Un jour, il se moqua d'une petite fille voisine parce qu'elle portait une culotte d'entraînement à la propreté. Il la traitait de "bébé". J'ai retrouvé la petite fille en pleurs avec mon fils à côté faisant comme si de rien n'était.

Cela en était assez. Je l'amenais à l'intérieur de la maison et je le grondais pour son comportement. Mais je voyais bien qu'il s'en fichait complètement. il souriait, faisait oui de la tête, et partait aussi tôt comme si cela n'avait pas d'importance.

En parlant avec une de mes tantes, elle me conseilla d'être plus sévère avec lui. Et que puisqu'il l'avait traité de bébé, alors je devrais le traiter comme tel. Nous avons alors décidé de le lui annoncer. Lorsqu'il entendit ce qu'il l'attendait il devint blanc mais nous suivit calmement jusqu'en ville en prenant le bus. 

Nous l'avons emmené dans un magasin de puériculture et il ne savait plus où se mettre. Il regardait au sol, rouge de honte, pendant que nous regardions pour ses affaires. Il y avait plein de tissus pour la layette, les draps de berceaux...plein de jolies choses en somme.

On demanda alors des tissus pastels en éponge mais surtout des langes en coton fait du tissu en coton le plus épais que nous avons pu trouver et que nous lui avons fait tenir. Il était en état de choc. La vendeuse ne se demandait quant à elle pas si c'était pour lui ou non. Il eût un instant l'envie de tout laisser tomber mais ma tante lui dit à l'oreille qu'elle pourrait très bien dire que c'était pour lui. Il fit alors le choix d'obéir alors que ma tante lança amusée "n'est ce pas adorable?". Les affaires furent alors emballés et nous quittions le magasin en faisant de larges sourires alors que Paul ne cherchait qu'à fuir.

Nous sommes ensuite allez chez un pharmacien où nous lui avons fait acheter des culottes en plastique, ainsi que des épingles à nourrice avec des embouts colorés, une tétine de la plus grande taille disponible et un biberon. Il était rouge de honte lorsque la vendeuse lui demanda quelle couleur il souhaitait pour la tétine. 

Sur le chemin du retour, il se fit plus petit qu'une souris. Et lorsque nous sommes rentrés nous avons été installés l'ensemble des achats dans la commode de sa chambre. Nous lui avons fait déballer et ranger chaque objet. Mais lorsque ce fût le tour des langes, nous lui avons fait tâter leur épaisseur avant de les faire ranger. 

Je lui ai alors dit qu'à la moindre incartade, tout ce qui se trouvait dans cette commode serait utilisé pour faire de lui un véritable petit bébé. Et je n'ai jamais eu à m'en servir. Dès que je pensais qu'il allait trop loin, j'avais juste à faire mine d'aller vers sa chambre pour qu'il me supplie de ne pas le faire. J'avoue que pourtant, ce n'est pas l'envie qui m'en a manqué. Peut-être aurai-je du? Mais cela a fonctionné. 

Deux mois fermes :

Témoignage ancien d'une femme (vraisemblablement avant 1980):

Alors que j'avais quinze ans, j'avais un petit-ami avec lequel je connaissais mes premiers émois, mais l'horreur fût quand ma mère nous surpris en pleine action. Elle chassa mon petit ami en hurlant et en me disant que j'étais sa plus grande honte. Elle me passa un sacré savon. Lorsque la tension fût redescendu, elle m'annonça qu'elle allait m'envoyer chez ma grand-mère qui allait reprendre en charge mon éducation le temps d'un été.

Je fus envoyée en train jusque chez ma grand-mère, en pleine campagne. Tout se passa bien jusqu'à ce que ma grand-mère me montre ma chambre. Celle-ci était très sobre mais enfantine avec poupées et peluches. Il n'y avait rien à part le lit et une grande commode blanche. Elle me demanda alors ma valise et disparut avec dans le couloir sans un mot.

Elle revint dans la chambre alors qu'elle portait au bras un robe courte et blanche aux manches bouffantes. Elle la posa sur la commode sans un mot et ouvrit le premier tiroir dont elle sortit du talc. Je frissonnais mais je n'osais rien dire car ma grand-mère était très autoritaire. Elle ouvrit ensuite le second tiroir et en sortit une culotte en plastique qu'elle secoua devant moi et dont je pus apercevoir les volants piqués à l'arrière. Je me mis alors à pleurer devant l'inévitable, mais ma grand-mère continua implacablement alors que je lui promettais d'être une gentille fille et de ne pas recommencer. Elle ouvrit alors le troisième tiroir qui débordait de langes en coton épais. Elle en attrapa trois ainsi que quatre épingles à nourrice.

Elle se dirigea vers le lit et étala deux langes avant de plier le troisième qu'elle plia en rectangle avant de le poser au centre et de replier les coins venant serré l'ensemble. Alors que je continuais de la supplier et que je sanglotais, elle se dirigea vers moi et me déshabilla entièrement. J'étais humiliée mais je n'osais rien dire. Elle m'entraina par la main laissant mes vêtements sur le sol et me fit m'allonger sur les langes disposés ainsi sur le lit. La terrible épaisseur des langes me heurta alors que ma grand-mère commençait à saupoudrer du talc sur mon bas ventre. Alors qu'elle ne m'avait adressé aucun mot, elle commença à me parler comme à un bébé en disant que j'avais étais vilaine mais que je serais un gentil bébé tout l'été. Elle étala le talc puis rabattit mes jambes contre moi pour talquer mes fesses. Une fois fini, elle rabattit fermement les langes contre mon ventre.

L'épaisseur des langes me força à écarter les jambes alors que je sentais l'étreinte des langes enserrés mes hanches au fur et à mesure que ma grand-mère les épinglées. Tout en épinglant mes langes, elle m'expliqua que j'allais passé tout l'été langée et traitée comme un bébé. Cela même dans le jardin ou en présence d'invités. Et surtout qu'il n'y aurait aucune exception, que je devrais les mouiller et les souiller. Je me suis effondrée en larmes alors qu'elle m'enfilait la culotte plastique avant de me retourner sur le ventre pour entrer toute la couche à l'intérieur de la culotte. Elle me fit ensuite me lever et m'enfila la robe avant de la boutonner tout en me disant que les robes que je porterais soient courtes pour qu'on voit mes couches.

Une fois son travail fini, elle m'entraina par la main dans sa chambre alors que je marchais difficilement à cause de l'épaisseur de mes langes. Elle m'arrêta devant le miroir où elle me fit constater mon état. Elle me dit alors que si après cet été cela recommençait, je reviendrais ici tous les été pour être un gentil bébé. Comme je continuais à pleurer, elle sortit une tétine en caoutchouc de sa poche qu'elle me mit en bouche en m'interdisant de l'enlever. En quittant la chambre, je remarquais alors la machine à coudre et le travail en attente qui était de la layette m'étant destinée.

J'ai passé les deux mois de l'été de mes 15 ans à mouiller et souiller mes langes. J'étais lavée et changée par ma grand-mère, avec ou sans invités. Les langes, les culottes et la layette étaient étendus sur le fil à linge. Alors que pour moi s'enchainait le défilé des culottes, des robes, des bavoirs et des bonnets. Ma routine était quant à elle faite d'un long couché, des repas et des siestes. Cela étant parfois accompagné d'un petit suppositoire pour m'aider à souiller mes langes. Sans parler des innombrables biberons qui faisaient que j'étais aussi fréquemment changée qu'un nouveau-né. Les quelques bêtises, parfois sexuelles, ou rébellions que j'ai pu faire ont été réprimées par de cinglantes fessées qui ont eu raison de moi.

Et lorsque je suis rentrée à la maison, l'absence de langes était une véritable liberté. Je me fis la promesse de ne plus revoir ma grand-mère, et je ne me fis plus jamais prendre par mes parents avant de quitter la maison à mes 21 ans. Et j'étais réellement devenue obéissante avec mes parents qui rappelaient dès qu'il le fallait mon petit séjour chez ma grand-mère que je n'oublierai jamais.

Une théorie personnelle du recours aux couches:

Témoignage ancien d'une femme:

Je voudrais exposer les raisons pour lesquelles une femme souhaite, ou se voit obligée à traiter son mari en bébé en le contraignant à porter des articles de puériculture qu'il n'a plus porté depuis de nombreuses années. D'après les lettres que j'ai lues, il apparait que les raisons qui font qu'un homme adulte se voit traité en bébé sont: 

Premièrement, il a développé un comportement de bébé en refaisant régulièrement pipi au lit. 

Deuxièmement, il préfère s'adonner à l’habitude infantile de la masturbation plutôt que d'assurer son devoir conjugal à l'égard de sa femme. 

Troisièmement, c'est un coureur et il a été infidèle à son épouse. 

Mais, il y a encore une autre raison que j'ai découverte. C'est lorsqu'un mâle n'a pas été bien éduqué à utiliser les toilettes proprement. Dans ce domaine, mon mari est très peu soigneux, aussi je lui dis que chaque fois que je trouverai une goutte de pipi où que ce soit, je lui ferai porter des couches. Depuis, c'est ce qu'il porte presque exclusivement. Il n'a pas le droit d'utiliser mes toilettes. Je change ses couches mouillées, et quand il a besoin de faire la grosse commission, il doit me demander la permission d'utiliser son pot. Oui, un petit pot d'enfant en plastique. Il trouve ça très humiliant.

remis en couches pour défaut de propreté:

Témoignage ancien d'une femme: 

Mon fils continue à avoir des problèmes de propreté alors qu'il est devenu grand. J'ai donc décidé de le traiter comme un bébé. Il porte pour l'instant uniquement des couches mais j'ai décidé de lui faire porter des vêtements s'ouvrant entre les jambes pour changer ses couches facilement. Je m'interroge aussi sur le fait de le faire boire au biberon et prendre une tétine. Après tout, si il se comporte comme un bébé, je dois le traiter comme tel. 

Je ne sais pas encore si le traiterai comme ça devant les amis ou la famille, mais je suis désormais déterminée.

Le traiter en bébé dehors:

témoignage ancien d'une femme:

J'ai découvert que mon mari, plus jeune que moi, avait des habitudes très infantiles. Par exemple, si nous sortons et qu'il boit un peu trop, il fera pipi au lit dans la nuit. Du coup, j'ai commencé à être lacée de cette situation, et j'ai décidé de la traiter comme un bébé.

Je le garde en couches et en habits de bébé. Entre les couches, les bavoirs et son petit lit de bébé, je peux vous dire qu'il est désormais habitué. Mais j'aimerai désormais aller plus loin et l'habiller aussi dehors comme un bébé avec de grosses couches, de belles culottes et tenues de bébé et surtout un joli bonnet pour le soleil.

Une vie de bébé :

Témoignage d'un homme:
Depuis que ma femme et moi sommes ensemble, maman comme j'ai du l'appeler depuis , elle m'a dit qu'elle n'avait jamais été aussi heureuse avec un homme que depuis qu'elle m'a remis en couches. Elle a commencé à me donner des petits noms à la maison mais aussi parfois dehors lorsqu'elle ne s'en rend pas compte. Cela me fait me sentir très bébé et me rappelle que je porte des couches.

Pendant un temps ce fût un jeu entre nous, mais rapidement je me suis retrouvé dans des couches plus importantes et elle me disait que si je devais faire pipi je n'aurai qu'à faire dedans. Cela fait aujourd'hui des années que j'ai été remis dans mes couches et je suis maintenant incapable de me retenir.

Cela ne l'a pas arrêté et elle continue de me mettre des couches. Elle aime me le rappeler et plaisanter autour de mes couches tout en les caressant et en les tâtant. Mais maintenant, elle me donne une tétine que je suis obligé de prendre en bouche. La première fois qu'elle me l'a mise dans la bouche c'était lorsque j'étais en train de me reposer avec elle. J'ai essayé de la repousser mais elle m'a dit qu'elle me trouvait trop mignon avec. Résultat, je n'ai pas osé la repousser  Du coup, à chaque fois, elle poussait de plus en plus loin en sachant que je ne dirais. Elle me rappelait souvent que nous n'étions deux qu'à savoir et qu'elle aimait me traiter en bébé. Je me suis donc ensuite retrouvé dans des vêtements pour bébé avec un bavoir, et je ne disais toujours rien pour ne pas lui faire de mal.

La seule fois où j'ai osé dire quelque chose sur un vêtement qui ne plaisait pas, elle m'a délaissé pendant plus de de deux semaines. Ni câlins, ni bisous, rien...pas une parole. J'ai fini par la convaincre avec beaucoup de mal que ce vêtement me plaisait au final. Aujourd'hui j'ai ma tétine le plus souvent, et je porte de jolis vêtements de poupon. Et je sais que dès que ma femme voit quelque chose qui lui plait, je risque de finir avec le même vêtement qui se déboutonne en général entre les jambes. Aujourd'hui, je suis un bébé qui attend que sa maman lui change sa couche et le laisse uniquement choisir entre les motifs de ses vêtements.