mercredi 11 octobre 2017

Manque de témoignages :

Tous les témoignages que j'ai trouvé ou qui ont pu me parvenir sont épuisés. Je sais que ce blog est très lu au regard du nombre des statistiques journalières. Il est aussi évident que la majorité d'entre vous viennent de france. 

Cependant, je ne trouve ni ne reçoit plus aucun commentaire utile. J'aimerais vraiment obtenir des témoignages vrais et sincères. Il ne s'agit pas de juger (et encore même, ce blog est positif sur le sujet) mais bien de partager anonymement. 

Je le répète, je ne publierai pas des témoignages fantasmatiques.

dimanche 23 février 2014

Un comportement inadapté:

Témoignage d'un homme (1980):

Je vais vous raconter comment enfant, j'ai été traité comme un bébé pour mon comportement. C'était à l'été 1965 et j'avais onze ans. J'avais été envoyé par ma mère chez une de mes tantes qui avait la bonne cinquantaine. Elle avait élevé mes cousins bien plus âgés que moi mais que je pensais un peu trop discrets.

Ma tante m’avertit qu'elle ne tolèrerait pas le moindre écart et que mes parents l'avaient autorisé à me discipliner sévèrement. Et dès la première journée, je me faisais remarquer. Ma tante vint à ma rencontre et me donna une fessée cul nu avant de m'avertir que "la prochaine fois, ce sera pire". J'avais les fesses en feu.

Le lendemain matin, elle ne supportait pas plus mon comportement. Elle me ramena rapidement à l'étage et arrivé en haut des marches elle me dit de me déshabiller entièrement alors qu'elle disparaissait dans sa chambre. Lorsqu'elle revint me chercher, je vis immédiatement sur le lit des vêtements pour bébé qui m'étaient clairement destinés, et surtout des langes pliés et ouverts qui n'attendaient plus que moi. Un haut de bébé et un culotte en plastique bleue juste à côté. J'étais déjà terrifié et humilié avant même qu'elle n'ouvre la bouche.

Elle dit alors: " Tu vas être habillé et traité en bébé jusqu'à ce que tu comprennes. Et les bébés font la sieste aussi le matin. Tu vas porter ces couches jusqu'à ce qu'elles soient mouillées et sales. Je vais te changer puis te langer jusqu'à ce que cela arrive une seconde fois. Seulement après, tu retrouveras tes habits normaux. Mais si cela arrive de nouveau, ce sera de plus en plus long". J'ai juste répondu "oui madame".

Je me suis retrouvé langé et habillé comme un petit bébé, pour une sieste dès le matin. Et six heures plus tard, j'avais souillé et mouillé ma couche. Elle m'a changé, langé de nouveau, et je n'ai été libéré que le lendemain matin après avoir de nouveau utilisé mes langes durant la nuit. Ce fût très humiliant.

Le jour suivant, je m'en suis pris à son chat. Ce fût la goutte de trop. "Je vois que tu n'as pas compris" me dit elle en me trainant à l'étage. Je me suis de nouveau retrouvé nu, fessé et langé. Mais cette fois-ci j'allais passé le reste de mon séjour en couches et traité comme un véritable bébé. Siestes, repas, changes et bien sûr utilisation des couches obligatoires. Je ne fus remis dans mes habits normaux que lorsque ma mère vint me chercher. Je ne lui ai jamais rien dit, et je ne sais pas si elle a jamais su, mais depuis lors je n'ai jamais été aussi sage et poli.  

Pour un accident...:

Témoignage d'un homme:

Lorsque j'étais enfant, pour des raisons pratiques, j'ai vécu avec ma grand-mère à plein temps. Et un jour que je jouais avec une petite voisine et que je ne voulais pas rentrer, j'ai eu un accident et mouillé mon pantalon. Lorsque je suis rentré, ma grand-mère a simplement déclaré que "les petits garçons qui font les bébés doivent être habillés comme des bébés", j'en suis devenu tout rouge.

Cette nuit là, je me préparais pour aller au lit en espérant qu'elle avait oublié cet accident quand elle arriva dans ma chambre et déclara " Grand-mère va mettre ses couches à bébé et il n'aura pas besoin d'aller aux toilettes". Sans aucun avertissement et comme si cela était naturel, elle a baissé mon bas de pyjama et m'a allongé sur le dos sur le lit. Elle disparu en revenant rapidement avec un sac dont elle sortit des langes en éponge, du talc, des épingles à nourrice avec des capuchons colorés, et une culotte en plastique.

Elle me dit alors "tout le monde sera mieux dans quelques minutes" tout en soulevant mes jambes, en glissant les langes sous mes fesses et en me talquant copieusement. Lorsqu'elle les referma entre mes jambes et qu'elle les fixa avec des épingles je sentis l'épaisseur écarter mes jambes. Ma grand-mère sourit alors avidement en me disant "ces langes ne sont ils pas merveilleux?".  Durant tout le reste du temps elle me parla comme si j'avais moins d'un an.

"Mettons cette jolie culotte" ponctua ensuite ma grand-mère. Elle passa alors la culotte entre mes jambes et la remonta jusqu'à ce qu'elle couvre parfaitement mes langes. La culotte renfonçait particulièrement leur présence et me faisait réllement sentir comme un bébé. Elle me retourna et tapota mon derrière en me disant "je suis sûre que bébé va passer une bonne nuit".

Mais cela n'était pas fini et elle sortit du sac une robe de bébé qu'elle passa avant de mettre des chaussons en laine aux pieds. Elle me mit ensuite au lit avant de me souhaiter une bonne nuit. A partir de ce moment, et excepté pour l'école, j'étais traité comme un bébé par ma grand-mère qui y prit un réel plaisir dès le lendemain en constatant que je ne pus me retenir.

Pour avoir mouillé son lit...:

Témoignage d'un homme :

Durant mon enfance, je me suis mis à mouiller mon lit la nuit. Et en réponse, je me suis retrouvé en couches jour et nuit dès que je n'étais pas à l'école. Et cela a duré jusqu'à la fin de mon adolescence. Je me suis en conséquence retrouvé à la merci de ma mère qui prenait à réel plaisir à me fabriquer des vêtements de bébé et notamment des robes de nouveau-né qui laissaient clairement apparaitre mes langes. Langes en éponges qui étaient très copieusement doublés.

Je sortais de mes langes uniquement pour l'école, le reste du temps, et même dehors j'étais vêtu comme un petit enfant et tout le monde pouvait clairement deviner mon état. Dès que quelqu’un interrogeait ma mère sur le pourquoi du comment, elle ne faisait aucun secret sur mon état de "mouilleur de lit" et le fait que tant que j'utiliserai mes langes comme un bébé, je ne serai pas prêt d'en sortir. Bien entendu, elle ne me laissait aucunement l'occasion de le faire. A la maison, j'étais habillé pour la nuit et couché au plus tard à 19:00. Ma chambre était bien entendue une véritable nurserie dans laquelle trônait un lit à barreaux où j'étais confié pour la nuit mais aussi lors des siestes obligatoires.

Lors des repas je portais un bavoir et ma mère me donnait à manger, cela même en dehors de la maison. C'est état de fait a durer jusqu'à mes dix-huit ans et que je quitte la maison.

mercredi 19 février 2014

Une hiérarchie bien définie:

Témoignage d'une femme (2001) :

Mon mari est pleinement soumis à une discipline de bébé dont les langes et les culottes en plastique sont l'élément principal. Le but principal est que cela me fasse plaisir. Ainsi, quand il n'est pas dans ma chambre pour me satisfaire, il est en couches et en habits de bébé. Il dort alors dans la petite chambre derrière où j'ai converti un lit en lit pour bébé avec des barreaux. Il porte alors de mitennes qui sont elles-mêmes attachées au barreau du lit pour prévenir tout problème puisqu'il n'est bien sûr pas autorisé à se toucher. Il va sans dire qu'il est bien sûr obligé d'utiliser ses couches comme il se doit, et cela me fait toujours plaisir lorsque je viens constater la nuit que ses couches sont mouillées ou pleines et que je le change.

Changer des couches sur un adulte est beaucoup plus facile comme un bébé. Il peut ainsi me dire quand il a besoin d'être changé, et j'adore quand il me demande si timidement et gentillement pour que je daigne lui mettre des couches propres. Ce que j'adore par dessus tout, je l'avoue, c'est de le changer devant des visiteurs comme n'importe quels bébés. Il a alors souvent le droit à des commentaires et des remarques qui l'humilient fortement. Je suis très sévère, ainsi il a l'interdiction de bouger ou de jouer lorsque je le change, sans quoi il risque une bonne fessée. Il attendant donc allongé, docilement, tandis que je le lave, le sèche, lui met des lotions et du talc avant de le langer de manière épaisse, le tout étant ensuite recouvert d'une culotte plastique une nouvelle fois.

Je mets un point d'honneur à ce qu'il soit langé de la manière la plus importante qui soit, cela est très joli et rajoute à son état de bébé. La nuit cela est doublé, et le pauvre ne peut clairement pas fermer son entrejambe. Tous ses vêtements de bébé, du body à la grenouillère, sont tous pourvus d'ouverture à l'entrejambe pour que je puisse le changer rapidement.

Tout ceci tient à la seule raison que j'aime avoir le contrôle sur lui et qu'il soit dépendant de moi. Il a su dès le départ que je n'entendais avoir aucun autre type de relation, et que je choisirais comment il serait habille, y compris devant des amis, sans quoi cela entrainerait des punitions. Il savait aussi que je dirigerai sa vie. Il a accepté ces termes, mais si cela a demandé parfois quelques fessées, et il a appris malgré lui à aimer ses couches.

Cela fait maintenant quatre ans que mon mari est un bébé la plupart du temps. Et je dois dire qu'avoir un homme remis en couches et traité en bébé est la seule manière d'en avoir pleinement le contrôle. Et je pense que c'est la place qui devrait être la leur dans la mesure où en tant que femmes nous sommes celles qui prenont soin d'eux et qui leurs donnons de l'affection. Nous sommes donc supérieurs à eux, et cela est l'expression de cet ordre naturel. Ainsi, je recommande à toute femme ayant des difficulté avec un homme, qu'il soit son mari ou son fils, de le remettre immédiatement dans les couches et de lui rappeler le bébé qu'il est entre nos mains.

Un bébé volontaire:

Témoignage d'une femme (2001) : 

On évoque toujours les cas difficile, mais pour ma part cela s'est passé très sereinement. Un jour lors des semaines proches d'halloween nous avons reçu un de nos magazines qui mettaient en avant les déguisements les plus intriguants. L'une des photos représentée un homme portant un immense lange, et un faux biberon de déguisement dans la main. J'ai rigolé et j'ai montré la photo à mon mari en lui disant "n'est ce pas ridicule?". Puis je l'ai regardé de haut en bas en disant "Je me demande comment tu serais habillé en bébé?" alors que je le taquinais. Il a rougi et voyant sa réaction j'ai dis "non ça serait ridicule" et j'ai terminé la conversation ainsi.

Je me demandais alors, vu sa réaction, si il aurait le courage de revenir sur la conversation. Deux nuit plus tard, calmement, il a murmuré à mon oreille "Qu'as tu voulu dire par être habillé comme un bébé?". Je lui ai alors répondu qu'il pourrait être mignon comme cela, mais que ce n'était qu'une idée et de ne pas s'y attacher. Il revint à la charge en disant que si cela était quelque chose que je voulais, et c'était bien quelque chose que je voulais, il ne serait pas contre. Je n'ai pas pu résister alors au fait de rigoler parce que je savais que je serai seule décisionnaire en lui disant "je paris que tu as toujours voulu cela, non?". Il s'est alors mis à tout me raconter en détail sur son désir d'être un bébé et a pleuré sur mon épaule.

Il a maintenant une magnifique garde-robe de bébé avec toute la layette nécessaire. Il m'adore et apprécie la moindre minute de son état de bébé. Je lui ai fait la plupart de ses habits de bébé, à mon plus grand plaisir, puisque je suis bonne couturière. Le reste comme les culottes plastiques ou les culottes en caoutchouc je les ai trouvé auprès de magasins spécialisés. Je sais aussi faire du tricot, j'ai donc fait des chaussons et des mitennes en laine pour mon bébé.

Je dois néanmoins avouer que toute cette attention n'empêche pas Maman d'être très stricte. Ainsi, il dispose d'une chaise haute et de tout le mobilier me permettant de le savoir en sécurité. Lors des repas, je le mets dans sa chaise haute, bien sanglé, et bien sûr pleinement habillé en bébé. Je lui mets alors un joli bavoir autour du cou. Je lui donne moi-même à manger avant de lui donner un bon biberon de lait chaud. C'est un moment que j'apprécie car il me caline et me touche tendrement avant de parfois prendre le sein. En retour, je lui fait de tendres calins et de beaux bisous comme les bébés les aiment. Il est très content comme cela et n'échangerait pas sa place pour rien au monde.

Il est aujourd'hui le mari obéissant, aimant et docile que nous recherchons toutes sans que je n'ai eu besoin d'employer la force. Nous avons un marriage heureux et si je peux suggérer une chose, c'est que si quelque chose manque dans votre mariage. Essayez de proposer à votre mari de porter des couches et de devenir votre bébé. Voyez comment il réagit, cela peut faire toute la différence. A l'extérieur, il est tout à fait capable et a une bonne place. Mais à la maison, il n'est que mon petit bébé.Et je sais qu'il ne voudrait pas qu'il en soit autrement.

un véritable plaidoyé:

Témoignage de (1967) :

L'utilisation des couches et le fait de traité son mari comme un bébé est absolument merveilleux. De nombreuses personnes vont en douter, mais il n'y a rien de plus efficace qu'une grosse couche bien visible, mouillée et le sentiment très enfantin d'être incapable de s'empêcher de mouiller ses couches qui finit par avoir besoin d'être changé. Je suis sûre que si de nombreuses femmes connaissaient l'effet des couches, alors les emploieraient sans complexe. Seules ou avec d'autres moyens de discipline. D'autant plus qu'un bébé est beaucoup plus difficile à discipliner qu'un grand garçon ou un homme.

Tout a commencé lorsqu'enfant j'ai été langé par mon institutrice, un samedi de punition. Ce fût une terrible surprise, je me sentis alors très petit. Et lorsqu'elle me donna une fessée après ça, je n’eus même pas reçu la première tape que je pleurais déjà comme un véritable bébé. Certainement à cause du fait d'avoir été remis dans mes couches.

Quelques années plus tard, alors que j'étais chez ma tante pour des raisons diverses, elle tenta de me discipliner et je lui dis que je n'étais pas un bébé. Que n'avais-je pas dis là?! Elle me répondit "Pour ce qui est d'être un bébé, je pense que tu es très puérile. Et pour te montrer qui commande désormais, tu passeras tes nuits et tes week-ends comme un bébé".

Le lendemain, malgré mes protestations et devant mes cousines qui se délectaient, je fus déshabillé entièrement, allongé et langer dans d'épais langes en coton. Je passais ma première nuit uniquement vêtu de mes couches aux quelles s'ajoutèrent une des chemises de nuit de la maison pour que je n'ai pas froid.

"N'es tu pas un bébé maintenant?" me dit ma tante triomphalement.

Le lendemain matin, au petit-déjeuner, mes cousines suggérèrent que je devais porter un bavoir et être nourri à la cuillère. Je me mis en colère, autre erreur, et je me retrouvé une minute plus tard sur les genoux de ma tante, un bavoir fait-maison autour du cou, alors qu'une de mes cousines me donnait à manger. Je pleurais de cette situation et de la fessée que j'avais reçu avant. Mais le pire fût d'avoir des céréales tombant sur le bavoir et mes joues sales.

Rapidement, les jours suivants, je devais parler comme un bébé quand j'étais en couches. Et je continuerai d'être puni tant que je ne le ferai pas convenablement. Je ne fus plus qu'autorisé à jouer avec des jouets de bébé et lire de livres d'images. Seule l'école et mes corvées étaient des moments de répits. Je retrouvais mes couches immédiatement après.

A peine une semaine plus tard, j'avais un parc, des vêtements de bébé, des culottes en plastique, des tétines, et des biberons. Tétines et biberons que j'ai du acheter moi-même sur le chemin du retour de l'école. Ce fût une terrible épreuve. Je buvais désormais uniquement des biberons et ceux du soir étaient toujours donnés par ma tante ou une de mes cousines. Si je faisais trop de bruit, ou que je pleurais (y compris après une fessée), je me retrouvais avec ma tétine en bouche et l'interdiction de l'enlever de là.

Ce traitement, et les nombreux biberons aidant surtout le week-end, je commençais à mouiller régulièrement et de manière incontrôlable mes couches comme un véritable bébé. Couches que j'avais l'interdiction de toucher ou d'enlever. Les culottes qui les serraient contre moi me les rappelaient alors très bien. Mais cela était surtout la nuit et lors des siestes. Mais à peine une semaine après le début de ce traitement, alors que je pouvais utiliser les toilettes une fois le matin et une fois en fin d'après-midi, je me mis à mouiller mes langes la journée. J'en ai réellement pleuré sous les rires de mes cousines. En conséquence de cela j'étais langé de plus en plus épais. Ce qui rajoutais encore plus à mon état infantile à cause de la démarche que cela m'imposait.

Croyez-moi, un traitement entier fait de couches, de vêtements pour bébé, de biberons, de repas à la cuillère, de jeux pour bébé, de siestes, de couchers très tôt et de l'utilisation obligatoire d'un langage infantile aura tôt de faire de n'importe quel enfant ou adulte un vrai bébé impuissant et ayant besoin d'aide. Surtout du fait que l’utilisation des couches deviendra systématique. Il deviendra dépendant affectivement des personnes qui s'occuperont de lui, il sera automatiquement sous chasteté et pleurera à la simple idée d'une punition.  Cela créant une obéissance quasi-absolue.

Cela est le commencement d'une soumission absolue pour n'importe quel homme dès qu'il est remis dans ses couches, complétement débarrassé des poils de son corps et dépendant d'une femme.